La loi des cartes …

Troisième revers concédé dimanche par nos joueurs contre le grand favori annoncé en début de saison : Jupille. Une courte défaite (2-3) mais au goût particulièrement amer, même si elle n’annonce pas de chambardement en tête du classement.

Warsage ayant partagé contre Dalhem et surtout Glons ayant stoppé le TGV de l’UCE Liège au prix d’un nul blanc, nous ne concédons qu’un point à nos concurrents, exception faite de Jupille qui revient à trois unités.

Constat aussi que nos trois défaites l’ont été contre nos trois concurrents directs : UCE Liège, Warsage et Jupille. Il y aurait peut-être matière à revoir dans la gestion des sommets. Côté pile de la médaille, c’est évidemment le sans-faute (8 victoires) affiché contre les autres équipes

Grosse amertume pourtant dimanche … car outre la défaite trop orientée, nous payons de nouveau un lourd tribut à l’arbitrage fantoche de ce petit monsieur qui nous avait déjà humilié en coupe à Emmels par des errements incompréhensibles et deux exclusions ridicules.

Pourquoi fallait-il remettre ce « francophobe » au centre du terrain dimanche ? Sans doute pour qu’il parachève son œuvre puisqu’il a réussit l’exploit de sortir tous les cartons qu’il fallait pour décapiter notre équipe lors du prochain déplacement à Dison : Steph Dodémont, Joao Elias et Alain Drouguet, soit tout notre triangle médian sur la touche … Ajouté à cela les décisions utiles à faire tourner la rencontre, ce petit monsieur dont nous ne citerons pas le nom n’a aucune légitimité sur un terrain de foot.

Rappelons nous que si nous avions été battus contre UCE Liège, c’était sans Joao Elias et Jeremy Drouguet qui payaient déjà la première tournée suite au fameux match d’Emmels.

Bref … rien de grave,  pas de quoi se prendre la tête du point de vue du classement car notre équipe a fait bonne figure, même privée des frangins Drouguet.

Il reste à Michel Henrotte à trouver une solution miracle car, outre les trois suspendus, nous ne pouvons toujours compter sur Parasschos, Piront, Reculé et pour l’occasion Freyman … soit sept joueurs de moins !

C’était aussi le dimanche des grandes premières pour notre entraîneur qui s’est vu renvoyer derrière les barrières pour la toute premiere fois.

Vraiment une dimanche de rêve grâce à un tout petit monsieur à qui on offrirait volontiers l’abonnement à Voo pour qu’il ne siffle plus


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